Dans un entretien accordé au New York Times, celui qui a longtemps été le visage public des autorités sanitaires américaines admet que les masques ont une efficacité très relative.

Anthony Fauci, conseiller en chef pour la santé publique sous 6 présidents américains avant Joe Biden, affirme aujourd’hui que « d’un point de vue général de santé publique, au niveau de la population, les masques sont efficaces de manière marginale – à peut-être 10 pour cent. »

L’honnêteté est secondaire

Les autorités sanitaires se sont comportées comme des girouettes sur la question du masque durant la pandémie. Comme l’avouait Michael Caputo – un ancien secrétaire adjoint aux affaires publiques de la santé et des services sociaux déchu de l’ère Trump – dans une interview récemment, « la communication en matière de santé publique, depuis ses débuts, s’accommode de mensonges ‘pour le bien’ afin d’atteindre ses objectifs ».

Le problème aujourd’hui, c’est que « les gens peuvent vérifier en quelques minutes avec leur téléphone si une information est véridique ». « Les autorités sanitaires ne se sont pas encore adaptées à cette réalité », ajoute-t-il.

Un aveu de taille

Les masques ne font pas exception. Alors que la censure frappe encore ceux qui, sur YouTube, diffusent des informations nuançant leur efficacité, rien de moins qu’Anthony Fauci, le visage des autorités sanitaires américaines durant la pandémie, vient d’avouer dans les colonnes du New York Times que leur efficacité est « peut-être » effectivement de 10%.

Ceci est un tournant par rapport à tout ce qui a été affirmé au plus dur de la pandémie.

 

Et les effets délétères des masques?

Les masques en population générale sont donc peut-être très peu efficaces, mais qu’en est-il de leurs effets délétères, qui eux sont par contre extrêmement bien documentés?

Arrestations violentes (voir la vidéo ci-dessous à Melbourne, Australie en août 2020), impact sur la santé mentale des enfants, sur leur développement, substances allergènes et même cancérigènes qu’ils contiennent, le fait que ceux-ci réinjectent des microbes pathogènes au lieu de les éliminer par l’expiration; et la liste n’est pas exhaustive.

À quand un vrai bilan officiel de leur impact et de leur imposition contrainte à toute une population ?

Source: Covidhub