1600 accidents cardiaques dont 1000 «morts subitement» recensés depuis 2 ans dans le monde. La corrélation temporelle avec les injections Covid semble évidente. 

ointés du doigt depuis le début de la campagne de vaccination Covid, l’augmentation d’arrêts cardiaques et de morts subites d’athlètes en pleine santé, souvent peu de temps après avoir reçu un vaccin Covid, se voit maintenant extrêmement bien dans les graphiques statistiques.

Le site américain Good Sciencing a compilé plus de 1 600 cas connus (dont 1000 «morts subitement») qui ont fait l’objet d’un reflet médiatique, autant pour des sportifs amateurs que professionnels. Covidhub vous propose une synthèse des informations de leur article, rédigé en anglais.

Les données de Good Sciencing, couvrant deux années illustrées chronologiquement dans le graphique ci-dessus, permettent d’exclure un cycle saisonnier et montrent l’aspect exceptionnel du phénomène, fortement corrélé à l’intensité des ‘vagues’ de vaccinations Covid. Le nombre de cas non répertoriés est sans doute très supérieur.

Et avant le Covid? Difficile de comparer

L’article de Good Sciencing cite plusieurs sources pour se faire une idée de l’occurrence des problèmes de santé graves et de morts subites chez les athlètes les années précédant le Covid.

Malheureusement, les critères de sélection des populations observées – sports, niveaux de compétition ou amateur, âge – varient d’une étude à l’autre et il n’est pas possible de réussir à comparer les différentes données de manière éminemment conclusive. Cependant, on peut deviner clairement une forte ascension en 2021 et 2022.

L’étude du CIO de 2006

En 2006, le Comité International Olympique (CIO) avait financé une méta-analyse sur les morts subites d’athlètes. Pas moins de 2866 articles scientifiques avaient été épluchés, couvrant les compétitions internationales de 1966 à 2004, pour découvrir que 1 101 morts subites chez des athlètes de moins de 35 ans avaient été répertoriées, soit une moyenne de 29 athlètes par an.

Cette étude nous apprend aussi que l’incidence de la mort subite d’origine cardiaque (MSC) chez les jeunes athlètes (âgés de 12 à 35 ans) est de 0,5 à 2 sur 100’000 par an, environ 2,5 fois plus que chez les non-athlètes. Les sports ayant l’incidence la plus élevée étant le football et le basket-ball.

La MSC est la cause de 90% des morts subites et 82% des accidents se passent lors d’une compétition ou d’un entraînement. Les autres causes sont l’asthme (ou d’autres affections pulmonaires), les coups de chaleur, l’abus de drogues, les embolies cérébrales ou encore la rupture d’une artère cérébrale.

Tendance indicative

Les informations rassemblées par Good Sciencing, même si la comparaison directe ne reste qu’indicative, montrent que ces deux dernières années, le nombre d’accidents graves chez les athlètes est équivalent au total des 38 années analysées dans la méta-analyse du CIO. Cela devrait constituer un signal alarmant qui mériterait une investigation des autorités compétentes.

Covidhub a contacté le service de presse du CIO avec une série de questions mais malgré plusieurs rappels, nous n’avons même pas obtenu un accusé de réception. Leur intérêt pour les morts subites d’athlètes est-il lui aussi mort subitement depuis les vaccins Covid?

Il est de notoriété publique que l’industrie pharmaceutique est un sponsor majeur des activités sportives de haut niveau, directement ou indirectement avec de la publicité.

En Suisse aussi

La liste de Good Sciencing contient déjà presque une dizaine de cas identifiés en Suisse, dont la mort subite du journaliste tessinois Darco Degrussa (59) en plein match de basket ou la myocardite post-vaccinale de l’athlète olympique de marathon Fabienne Schlumpf (31). Le décès suspect du footballeur du stade Lausanne Ouchy Elia Allessandrini (25) n’est lui pas (encore) listé.

Silence et (auto-)censure… Pourquoi?

L’augmentation d’accidents sur le terrain, souvent spectaculaires lorsqu’une star s’effondre au milieu d’un match à la suite d’un arrêt cardiaque, se reflète dans le nombre d’articles médiatiques. Mais souvent sans faire référence au statut vaccinal de la victime.

Le tabou, à de rares et courageuses exceptions, vaut non seulement pour les médias, mais aussi pour les clubs et les proches. Ont-ils peur d’être attaqués?

Rapport évolutif

Good Sciencing s’engage à collecter autant d’informations que possible, tant qu’elles sont encore disponibles. Selon eux, il existe un effort mondial concerté pour faire disparaître ces informations (censure réseaux sociaux, articles médias), ce qui justifie d’autant plus qu’elles soient collectées, étudiées et sauvegardées afin que des chercheurs puissent les examiner.

Les auteurs promettent que ce rapport s’étoffera au fil du temps, à mesure que de nouvelles informations seront ajoutées. Ils invitent tout un chacun à leur faire parvenir des cas documentés qui ne sont pas déjà listés, via leur formulaire de contact, avec autant d’informations que possible. Les informations utiles sont le nom de la personne, son âge, ce qui lui est arrivé, si elle a reçu un ou plusieurs vaccin(s) Covid, la date de l’événement ou du décès, le lien vers tout article de presse.

Sources: