DES VACCINS EN 100 JOURS !! L’OMS, en tant que plus grande organisation mondiale de santé à but non lucratif, prend des décisions que d’autres suivent généralement, CONFIANT que l’OMS est libre d’intérêts commerciaux. Pourtant, les fonds attribués à l’OMS en 1970 étaient bien financés par 80% provenant des États et 20% provenant d’entreprises privées (grands groupes pharmaceutique), mais en 2020, la tendance c’est totalement inversée.

L’OMS, Gavi Alliance, le CEPI , le Forum économique mondial et les gouvernements du monde entier arborent donc le drapeau humanitaire sous l’égide du « COVAX », faisant écho au slogan « Personne n’est en sécurité, à moins que tout le monde ne soit en sécurité ». Un slogan séduisant, qui souligne parfaitement le sophisme de toute cette mascarade et la perspicacité de sa vente. En cas de nouvelle pandémie, le nouveau traité pourrait saper les constitutions nationales ET il concerne 194 États membres. Pour info, 195 pays sont reconnus par l’ONU. Le hasard fait que l’UE et des acteurs privés tels que la Fondation Rockefeller et Bill Gates semblent être des sources d’idées.

Pendant ce temps là, le CEPI (Centre for Epidemic Preparedness and Innovation) « ils [CEPI] essaient de faire sortir les vaccins dans les 100 jours à compter de l’arrivée de la prochaine pandémie, ce qui signifie que vous n’aurez pas le temps de les tester sur des êtres humains, ce qui signifie que vous n’aurez aucune idée quant à leur sécurité », a averti le Dr Meryl Nass. https://t.me/DrMerylNass/32

Pour l’histoire, le CEPI a été lancé à Davos en janvier 2016 par les gouvernements de la Norvège et de l’Inde, la Fondation Bill & Melinda Gates, le Wellcome Trust (sous la direction du nouveau scientifique en chef de l’OMS, Jeremy Farrar) et le Forum économique mondial. Ils reçoivent un financement de Gates et Wellcome ainsi que de plusieurs États membres de l’OMS, dont la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Le CEPI entretient des liens importants avec l’industrie pharmaceutique et suit un modèle commercial, décrit comme un schéma de Ponzi*, dans lequel les contribuables couvrent tous les risques et l’industrie reçoit tous les avantages.

La parenthèse faite, le Dr Meryl Nass nous explique aussi, que la Brighton Collaboration vise à devenir l’arbitre de ce qui constitue un effet secondaire d’un vaccin. « Nous vous dirons comment les définir et si un événement indésirable particulier est, en fait, dû aux vaccins… » et donc le CEPI, qui fait en sorte de sortir un nouveau vaccin en 100 jours, finance maintenant la Brighton Collaboration… de sorte qu’ils créent probablement des définitions d’événements indésirables qui vont laisser les vaccins du CEPI s’en sortir !! La corruption en marche !

https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/shows/friday-roundtable/inside-the-belly-of-the-beast/

* Un système de Ponzi, ou chaîne de Ponzi, ou encore pyramide de Ponzi, est un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants.

Les développeurs de vaccins financent la redéfinition des effets secondaires des vaccins avec la Brighton Collaboration, https://www.who.int/teams/regulation-prequalification/regulation-and-safety/pharmacovigilance/vaccine-safety-net/vsn-members/brighton-collaboration