l’OMS a signé les contrats d’achats de vaccins Covid avec BIG Pharma et l’achat des vaccins ne pouvait avoir lieu qu’après le déclanchement d’une pandémie et uniquement si aucun médicament n’était efficace.

C’est donc pour cela que par  exemple
l’
Hydroxychloroquine avait été interdite, bien qu’utilisée depuis des décennies.

Et c’est également pour cela que l’OMS a dû modifier la définition du mot PANDÉMIE.

Avant le 4 mai 2009, la définition d’une pandémie virale était la suivante :

« Une pandémie de grippe se produit lorsque apparaît un nouveau sous-type de virus dont personne n’est à l’abri. Plusieurs épidémies peuvent se déclarer simultanément dans le monde, provoquant un grand nombre de cas et de décès. »

Après le 4 mai 2009, sur le même site, les notions de morbidité et de mortalité ont disparu. Le 11 juin, Margaret Chan, directrice générale de l’OMS déclenche la phase 6 de la pandémie grippale, la plus haute, alors que 144 décès sont attribués à la grippe A dans le monde.

En partant des prévisions les plus graves…

En témoigne l’examen des comptes rendus de la réunion regroupant OMS, agences et firmes à Genève les 11 et 12 novembre 2004, de même, celui de l’assemblée de l’ESWI (European Scientists Fighting Influenza), présidée par le très contesté Professeur Osterhaus, réunie en janvier 2009 à Bruxelles.

A partir de mai 2009, l’OMS continue à renvoyer à des recommandations faisant appel à des prévisions évoquant 7,4 millions de décès. Ces prévisions seront relayées dans les différents pays : en France, le Professeur Flahaut affiche, le 12 mai 2009, la « prévision modérée » de 30000 décès.

Beaucoup plus tard, le très officiel Institut de Veille Sanitaire (INVS) livre dans son avis du 28 septembre 2009 des fourchettes d’évaluation actualisées, allant de 6400 décès dans le scénario le plus optimiste, à 96 000 décès dans le plus pessimiste, avec 640 à 4800 décès pour les enfants de 0 à 4 ans…